Frappée de plein fouet par la montée en puissance des mouvements terroristes et la multiplication des foyers de tension dans la région, la CEDEAO semble avoir du pain sur la planche pour maintenir son homéostasie sur l’échiquier politique de l’Afrique de l’Ouest. La sortie de l’AES constitue à la fois un coup de tonnerre pour la CEDEAO et la constitution d’un pôle de contestation et d’autodétermination des peuples, qui fait de la région un espace de compétition et de confrontation entre la Russie de l’Alliance BRICS et la France de l’OTAN. Dans une approche sociométrique, l’auteur fait la sociographie des incidences éventuelles de cette sortie de l’AES de la CEDEAO sur la libre-circulation des personnes, des biens et des services en Afrique de l’Ouest. Adoptant ainsi une posture diachronique et synchronique, il se positionne dans le débat sur l’impact de la présence de deux institutions supranationales d’intégration régionale dans un même espace économique régional et, qui se livrent une adversité sévère. L’avenir de la communauté de destin en Afrique de l’Ouest est en jeu.
Nous vous proposons l’intégralité de cet article scientifique paru à l’International Journal of Academic Multidisciplinary Research (IJAMR) ici.
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