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Rédigé dans un style sociométrique, cet article expose les promesses de motivation et de légitimation des coups d’Etat de 1984, de 2008 et de septembre 2021 en République de Guinée. Il se propose également d’évaluer, dans une approche sociographique, l’incidence de ces coups d’Etat sur la qualité de vie de la population guinéenne. S’inscrivant ainsi dans une posture Sui generis, l’auteur se positionne dans le débat sur la contribution des coups d’Etat à l’amélioration des conditions de vie en République de Guinée. Il établit ainsi, dans une approche à la fois synchronique et diachronique, le parallèle entre les discours de prise de pouvoir et les résultats auxquels la gouvernance des régimes issus de coups d’Etat ont abouti dans ce pays faisant partie du désormais territoire conquis de coups d’Etat, Afrique de l’Ouest. Cet article démontre que toutes les dynamiques discursives de justification des coups d’Etat en République de Guinée sont à ranger du côté d’une propagande de mauvais aloi.
Nous vous proposons l’intégralité de l’article paru à la Revue Internationale de Recherche Universitaire Multidisciplinaire (IJAMR) ici.
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